C'est Officiel... Je suis mon propre boss!!!

Comme je l'ai écrit, je commence mon entreprise, ce qui veut dire que je ne peux pas encore me permettre de financer (prêter du $$$) la clientèle en avance pour les coûts relier à l'impression et au montage des produits. C'est sur que ça rend la chose un peu plus difficile pour la clientèle, de devoir financer l'impression lors de l'impression, mais c'est pour le temps que je puisses me faire un coussin en cas de problèmes. L'impression est la partie la plus dispendieuse, dans l'édition.
(Et pour ce côté, je n'a pas beaucoup de contrôle puisque ce sont les entreprises d'imprimeurs qui font le travail et qui mettent leurs propres règles. C'est donc eux qui choississent comment fonctionnent l'impression et comment fonctionnent les paiements relier à l'impression. Mon rôle, rendu là, est de faire le choix le plus économique et sécuritaire pour ma clientèle et de m'assurer d'une qualité professionnel au produit fini.)

Donc, pour l'instant, si vous n'êtes pas prêt à vous y investir monétairement, je vous conseils de prendre des Éditeurs publiques (possèdant leurs propres réseaux de distribution et leur propres moyens d'impressions). Le côté négatif, dans un moment comme celui où l'on fait appel à un Éditeur publique, c'est que l'on n'a que les droits d'auteurs comme sources de revenu.
Exemple : Appox. 15%-25% de la valeur des ventes priliminaires maximum. Sur un livre que vous payer disons 20$, la valeur est initiales était d'environ 12$-15$ maximum. Donc votre revenu sur un livre/document de ce montant est environ de 3.75$ par exemplaire estimé vendu. Dans le cas présent, vous ne vous faites pas avoir puisque vous n'y prennez aucun risques.

Mon entreprise se trouve à être un Éditeur privé. Ce qui revient, à la base, à des coûts beaucoup plus dispendieux, pour la clientèle, et des risques omni-présents. Les coûts d'impressions et de distribution (les livres ne se déplaceront jamais tout seul jusqu'à l'acheteur ou dans les magasins) sont pris en charge par soit le client ou le client ET l'Éditeur privé. (selon le contrat signé au début du projet). C'est après tout ces tracas et nécéssités financières que l'argent rentre vraiment. Le revenu pour le client varient alors entre 40% et 80% de la vente initiale. (variant le nombre de responssabilitéa et l'argent qu'il apportent au projet). Le 20% restant étant pour la distribution à long terme et pour la ré-impression, après l'épuisemenent des stocks, lorsque ça se produit. Donc pour le même livre qui se vend 20$ en magasin, vous avez un revenu de 6$-12$ par exemplaire estimé vendu. Et, en cas de problèmes, ce sont la clientèle et, si le contrat l'oblige, l'Éditeur privé qui en souffre.

Il arrive parfois que les clients commencent par un Éditeur privé, produit une petite quantité de livres (coûts d'impressions plus petits) et tentent de commencer par une distribution régionale ou même dans une seule ville. Après avoir vu si ça fonctionne ou pas, ça leur donne un point de vente plus ou moins fort pour aller vendre le produit chez un Éditeur publique et, dans le cas présent, l'auteur n'a pas seulement les droits d'auteurs, comme revenu, mais aussi les droits d'édition et de mises-en-pages. Ce qui résulte à un revenu d'approx. 30%-50% de la vente initiale.

Donc voici un description simplifié :
- Édition Publique :
Défauts : Grand risque de refus d'édition. (20% des demandes passent seulement) Petit revenu sur la vente. Aucun contrôle sur la vente.
Qualités : Risques monétaire presque inexistant. L'Éditeur prends tous les risques et en fait son produit et, vous, son auteur.
Responssabilité de l'auteur : Limité à une production selon le contrat. (si le volume se vend bien, il se pourrait qu'il réclame une suite ou un autre volume. Bien sûr, c'est plus payant dans ces temps là.)

- Édition Privé :
Défauts : Risques monétaire très élevés. Responssabilité élevé. Prise en charge et mise en marché = Stresse OU coût encore plus élevé.
Qualités : Revenu très élevé. Contrôle sur la zone de vente.(vous pouvez choisir de vendre où vous le souhaitez, si vous y metter le prix)
Responssabilité de l'auteur : Élevé. (Variant selon le contrat pris avec l'Éditeur privé.) Aucune obligation face à la production pour l'auteur. (s'il souhaite produire 1 livre à tous les 10 ans, il n'a pas de contrat de production donc il peut le faire.)

- Édition "double" :
Dégauts : Coûts initial élevé. Dû à la faible publication, risque de succès très faible lors de la vente à l'unité. Risque de refus d'édition de l'Éditeur publique est moins présent que sans preuves de ventes, mais quand même présent. Revenu très faibles, au départ.
Qualités : En cas d'acceptation d'Édition publique, revenu plus élevé que par l'Édition publique initiale. Une fois l'Édition publique en court, les risques sont très réduits.
Responssabilité de l'auteur : - Au départ = Élevé // En cas d'Édition publique : Limité à une production selon le contrat.

Au Canada, c'est plus compliqué au Québec quand dans les autres provinces car l'administration est tire-au-flanc et l'on à le droit à 2 forces politiques majeures : le provincial québéquois et le fédéral. Dans les autres provinces, pour une raison qui a été d'abord raciste et puis devenu "rationnal", il y a un minimum d'accord entre l'administration politique provincial et fédéral.
Je ne parle pas de parti politique, mais bien de l'administration.
- Partie Pol. = Représentation et changement
- Administration = "membres et organisations" toujours présents, peu importe le parti dominant.
Pour le Québec, l'administration fédérale ne s'accord aucun respect et ne tente aucune négociation avec l'administration provincial. Voilà pourquoi nous sont parmis les gens les plus légalement taxés de la planette : Car nous supportont un pays comme n'importe qui ET un semblant de pays qui est en réalité qu'une province incomplète. (On se demande pas pourquoi on est dans le top 3 des province/états où l'on compte le plus grande taux de suicide annuel, hein? Le pire c'est que même le suicide est taxé car il est illégale le couvrir par des assurances et les maisons funéraire donne les taxes dans les coûtes d'enterrement!)